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    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Découvrir nos ancêtres

Posté par francesca7 le 7 juin 2013

 

 Les méthodes pour retracer l’historique de votre famille vous sont résumées dans ce paragraphe. Commencez par questionner les plus vieilles personnes de votre famille et construisez un petit arbre généalogique. Après avoir appris comment rassembler et classer les informations, vous pourrez commencer à remplir les cases vides de votre arbre généalogique. Toutes les recherches généalogiques se font à partir d’éléments plus ou moins connus où tout est important.

 Vous apprécierez à juste titre le présent ouvrage comme étant un outil valable pour vous aider à construire votre arbre généalogique.

 

Découvrir nos ancêtres dans AUX SIECLES DERNIERS arbre-de-vie

 

A partir du moment où vos recherches mettent en évidence des maillons manquants, envoyez une lettre ou un questionnaire sur l’historique de votre famille aux homonymes habitant la région en question. Par exemple : vous avez peut-être un ancêtre qui s’est installé dans le Bordelais pour acheter une exploitation viticole. Vous n’avez peut-être pas d’autres informations sauf son nom et la région où il habite. N’hésitez pas à écrire aux autres homonymes qui habitent cette région, vous serez sans doute surpris de ce qu’ils pourront vous apprendre.

 Avant de commencer vos recherches, lisez et informez-vous le plus possible sur les méthodes et les techniques de recherche que d’autres ont déjà utilisées pour leur propre compte. Nous vous recommandons plus loin quelques bons livres sur le sujet. Vous vous apercevrez très vitre que vous collecterez de plus en plus d’information sur votre famille. Bibles, vielles lettres, coupures de presse, carnets de bord, albums photos et documents légaux sont autant d’empreintes vivantes laissées par vos parents, pour vous aider à résoudre le mystère du passé. En d’autres termes, collectez d’abord les informations familiales. Gardez en mémoire votre but principal : trouver de nouvelles informations concernant vos ancêtres. Les résultats de vos recherches ne mettront peut-être pas en évidence une grande et illustre lignée, mais cela peut être un défi éducatif ou un bon divertissement.

 Vos ancêtres auraient pu être savants ou scélérats, chevaliers ou canailles, princes ou pirates, seigneurs ou laboureurs. Mais quels qu’ils aient pu être, ils sont une partie importante de votre héritage familial.  La science qui consiste à retracer l’historique de votre famille à travers les siècles est appelée généalogie. Ce mot ne met pas en évidence le plaisir que cela peut vous procurer ni le défi qu’il vous faudra relever.

 L’intérêt de l’intrigue que représente la généalogie résident dans le fait qu’une fois vos recherches commencées, vous ne savez jamais où vous allez aboutir ni ce que vous allez trouver. Lorsque vous déciderez d’entreprendre vos recherches généalogiques, sachez que vous pourrez louer, à tarifs variés, les services de chercheurs expérimentés ou de généalogistes professionnels qui retraceront certainement plus aisément l’histoire de votre famille que vous ne pourriez le faire vous-même.

 Mettre à jour l’historique de votre famille nécessite beaucoup d’organisation. Pour y parvenir, voilà ce dont vous avez besoin :

-       deux classeurs à feuilles volantes : un pour vos notes et vos recherches en cours, l’autre pour l’historique actuel de votre famille.

-       Des cartes géographiques retraçant l’itinéraire de votre famille. Les généalogistes les appellent « carnets de pedigrees » ou « carnets familiaux ».

-       La liste des questions sur l’historique de votre famille que vous pouvez facilement établir vous-même. Cela vous permet d’être sûr de ce que voulez demander.

 Par où commencer ?

D’abord par vous-même. Asseyez-vous et ouillez dans vos souvenirs (bibles familiales, carnets intimes, lettres) pour y retrouver toutes sortes d’informations sur les noms, les lieux et les dates importantes. L’étape suivante consiste à découvrir vos plus anciens parents. Les « interview » est un mot bien formel, mais c’est pourtant ce que vous devrez faire. Demandez à un parent ou à un ami un entretien, ou envoyez-leur un courrier. Par la suite, avant toute rencontre, envoyez leur un nouveau courrier mentionnant toutes les questions que vous souhaitez leur poser. Puis laissez-leur plusieurs semaines pour retrouver leurs carnets de bord, leurs mémentos qui leur rafraîchiront la mémoire. Si une visite personnelle n’est pas possible, vous aurez donc besoin d ‘établir un questionnaire informel. Utilisez un style neutre, ainsi ils ne se sentiront pas gênés pour répondre à vos questions. Parlez-leur de votre projet et essayez de les sensibiliser et de les enthousiasmer. Et surtout n’oubliez pas de joindre une enveloppe timbrée et libellées à votre adresse. Comme nous vous l’avons mentionné, l’historique de votre famille devrait être plus qu’une collection de noms, de dates et de lieux. Cela devrait être plutôt une collection de souvenirs et de vécus.

 Voilà comment procéder :

-       Informations vitales : extraits de naissance, certificats de décès et certificats de mariage.

-       Informations personnelles : journaux, carnets de bord, coupures de presse, photos, albums de famille, albums de mariage, faire-part de naissances et de décès, certificats de travail ou de retraite.

-       Documents légaux : contrats, feuilles d’impôts, testaments, actes notariés, hypothèques.

-       Registres d’écoles : diplômes, annuaires, récompenses, anciens élèves.

-       Registres religieux : de baptêmes, de mariages, de paroissiens et les bibles familiales.

-       Registres gouvernementaux : récompenses ou réformes militaires, papiers de citoyenneté ou de naturalisation, passeports, permis de travail, papiers administratifs en tout genre.

-       Carnets de santé : vaccinations, hôpitaux, assurances, ordonnances médicales.

 Aucun historien ne passerait uniquement son temps dans les greniers ou discutant avec des parents comme nous vous le suggérons … il sera souvent dans les bibliothèques et sera familier avec les société généalogiques et les magazines de généalogie, les bibliothèques privées avec leurs collections généalogiques, les arches et les bibliothèques  nationales, et les cimetières où les familles ont été enterrées. Et n’oubliez surtout pas les registres de recensement auprès des chefs-lieux départementaux. Vous retrouverez des registres de militaires, de pensions et de subventions aux personnes âgées aussi bien que des listes de passagers de paquebot et des certificats de naturalisation.

 La quantité et la qualité de vos informations pour retracer l’historique de votre famille dépendront de votre persévérance dans vos recherches et de votre chance. Si une quantité suffisante d’informations sur votre famille a bien été conservée, vos chances de « remonter » les branches de votre arbre généalogique seront meilleures. Vos résultats dépendent donc de la bonne préservation des informations. Si vous n’êtes pas sûr de l’endroit où vivaient les membres de votre famille, vous pouvez tenter de les localiser grâce aux extraits de naissance, aux certificats de mariage et de décès de vos ancêtres.

 

album-de-familel-219x300 dans AUX SIECLES DERNIERS

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Recherches héraldiques SUISSES

Posté par francesca7 le 7 juin 2013

 

 

Recherches héraldiques SUISSES dans AUX SIECLES DERNIERS suisses-300x194Presque tous les Suisses ont des armoiries. Même si beaucoup se sont eux-mêmes octroyés leurs blasons, on s’intéresse beaucoup à la science héraldique en Suisse. L’influence de certains pays étrangers, à divers époques, se reflète dans les armories nationales. Elles ont été accordées aux citoyens suisses à diverses périodes de l’histoire par les Allemands, les Français, les Hongrois, les Bohémiens et même les Anglais.

 Nous trouverons aussi de nombreuses armoiries où l’armet traditionnel est remplacé par le « bonnet de la liberté de Guillaume Tell ».

  L’emploi des armoiries fédérales est soumis à des conditions différentes La croix suisse est définie comme une croix blanche, verticale et alésée, placée sur un fond rouge et dont les branches, égales entre elles, sont d’un sixième plus longues que larges.

Les armoiries officielles sont constituées d’une croix suisse placée dans un écusson. Les reproductions fidèles ou les reproductions partielles des armoiries sont dorénavant réservées aux collectivités, tout comme les signes susceptibles d’être confondus avec elles. Il ne suffit donc pas de modifier les proportions des armoiries protégées ou d’utiliser une autre forme d’écusson, ni d’utiliser une autre couleur, si elle ne se différencie pas clairement de la couleur du signe protégé, pour écarter le risque de confusion.

Ainsi, une croix blanche verticale sur un écusson à fond orange est un signe susceptible d’être confondu avec les armoiries de la Confédération, parce que la couleur choisie ne se distingue pas suffisamment du rouge utilisé dans les armoiries nationales. Une croix blanche verticale sur un écusson à fond bleu est par contre propre à exclure tout risque de confusion, de sorte que son emploi n’est soumis à aucune condition particulière.

 

 

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la légende héraldique

Posté par francesca7 le 7 juin 2013


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la légende héraldique dans AUX SIECLES DERNIERS legendeDifférentes disciplines scientifiques servent à étayer des légendes héraldiques fantaisistes mais flatteuses pour la famille qui portent ces armoiries légendaires. La géographie, la généalogie, la philologie, ainsi que, curieusement, la géologie, servent à nourrir ces légendes ; ces dernières, presque toujours issues des récits imaginaires et faussement érudits des hérauts d’armes des xivet xve siècles, se colportent jusqu’au xviie siècle par le biais des publications et des manuscrits de ces hérauts, mais aussi par les traditions orales familiales, comme en attestent de nombreux auteurs héraldistes qui relatent les circonstances de leur découverte de ces légendes. Ces dernières expliquent la nature des motifs héraldiques des armoiries des familles par un système assez simple d’analogies plastiques. Ainsi, des bandes horizontales sur un écu pourraient par exemple rappeler un fleuve, une disposition géographique ou une anecdote le plus souvent flatteuse sur les origines de la famille concernée. Une attention particulière a été ici apportée au cas de l’hermine de Bretagne, expliquée par plusieurs légendes mobilisant l’histoire antique, ou des récits romanesques concernant des princes bretons. L’examen détaillé de ces dires montre une véritable érudition, fondée sur l’imagination ou la réputation, qui se met au service des connaissances héraldiques.

La fable aux origines des armoiries

Les érudits du xviie siècle, même « Ménestrier », dans une certaine mesure, rapportent volontiers des prodiges, des concessions fabuleuses, ou des exploits aussi fabuleux, aux origines de certaines armoiries. Il existe de très nombreux exemples d’armoiries de familles dont l’origine est réputée être un exploit guerrier remarquable ou extraordinaire, au cours d’une bataille, d’une chasse ; cet exploit fait parfois lui-même référence au motif de l’écu, mais il peut aussi s’agir d’une concession royale accordée suite à cet exploit. Il existe aussi des histoires de miracles, souvent liés à un événement mystique, faisant par exemple allusion à la vision de Constantin au pont Milvius, ou à un miracle eucharistique.  Il est intéressant de constater que le xviie colporte un grand nombre de ces légendes, mais en exclut certaines, comme la légende des armes de la famille de Lalaing, pourtant célèbre : ce travail ne concerne donc que les légendes rapportées au xviie siècle ; les autres sont en général redécouvertes au xixe siècle, friand de ces récits flatteurs pour la noblesse, ou les nations.

 

 

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