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Maisons des confiseurs

Posté par francesca7 le 31 mai 2013

exemple : Ouverture d’une maison des confiseurs
à Montferrand (Puy-de-Dôme)

(Source : France 3 Auvergne)

  

Une maison des confiseurs vient d’ouvrir à Montferrand pour mettre en valeur la confiserie, patrimoine local en Auvergne

Au XIXeme siècle, Clermont était la capitale de la confiserie et tout spécialement de la pâte d’abricot.

Depuis plusieurs années l’association Puy Confit se bat pour remettre en valeur ce patrimoine. Elle vient d’ouvrir à Montferrand une maison des confiseurs Au Puys des Délices (4 rue Jules Guesde à Montferrand), un lieu dédié aux fruits confits, pâtes de fruits et autres sucres d’orge auvergnats.

Un point de vente mais aussi un lieu d’exposition. La première est consacrée aux emballages d’autrefois et intitulée Ouvrez les boîtes à délices.

Accédez à l’article source

 

Maisons des confiseurs dans Epiceries gourmandes confiseur Le confiseur est, depuis le xixe siècle, un artisan spécialisé dans la confiserie, fabrication de produits comestibles dont le sucre est un composant essentiel – à l’exclusion des confitures, gelées et marmelades - et qui en fait éventuellement le commerce. Relèvent donc de son art toutes sortes de friandises sucrées et les bonbons.

Il lui appartient de peser ou mesurer les divers ingrédients avant de les mélanger à la main ou à l’aide d’un agitateur électrique et de régler la température du mélange pendant la cuisson, d’étirer ou mouler le produit éventuellement à l’aide de machines et le recouvrir si nécessaire de chocolat, de sucre ou d’autres substances.

Dans la restauration et l’hôtellerie, le chef confiseur est le cuisinier chargé des fantaisies en pâtisserie (gâteaux spéciaux, pièces montées, pâtisseries fines, bonbons, etc.).

Le métier de confiseur est souvent couplé à d’autres activités proches : chocolatier, glacier, pâtissier.

Le terme confiseur apparait en 1600 dans le Théâtre d’Agriculture de Olivier de Serres. Son sens est alors différent :

Le confiseur était l’artisan qui préparait des mets confits, non seulement dans le sucre, mais dans d’autres ingrédients aussi, selon des pratiques ancestrales qui utilisaient le sel et le vinaigre (pour le concombre ou le pourpier, par exemple), des sauces comme la glace de viande, du vin, de l’eau-de-vie5 ou des matières grasses (pour les sardines, le canard, etc.) ; le confiseur était donc celui qui confectionnait donc des conserves. Nicolas Appertfut ainsi un confiseur renommé qui tint son magasin pendant plus de quinze ans rue des Lombards à Paris.

Exemple de bonbons de confiseurs  

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La Fête des blanchisseuses

Posté par francesca7 le 31 mai 2013

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La Fête des blanchisseuses  dans LAVOIRS DE FRANCE blanchisseuses  Fête, féminine et populaire, [...] des femmes prennent le temps de vivre, s’amusent entre elles, chantent, dansent, boivent, festoient, se costument, élisent des reines, y ajoutent des rois et défilent. À cette époque, c’est le seul moment où des femmes françaises votent (elles n’ont acquis le droit de vote qu’en 1945). Des milliers de femmes élisent des centaines de reines, des centaines de milliers mettent toute la ville en fête ; c’est « juste » cela, la Mi Carême. Toutes les blanchisseuses votent, sont éligibles, y compris les plus jeunes. 

  Elles élisent des reines de lavoir ou bateau-lavoir et une reine de toutes les blanchisseuses. La fête a lieu au lavoir ou au bateau-lavoir et dure jusqu’au soir. Le défilé des Reines et le cortège de la Reine de toutes les blanchisseuses avaient une dimension très importante dans la vie festive parisienne. 

A partir de 1891, le président de la chambre syndicale des maîtres de lavoirs, M Morel, souhaitant sans doute également calmer la pression des femmes qui veulent plus de droit prend  l’initiative de fédérer les cortèges des employées des lavoirs parisiens ; 

Les maîtres de lavoirs, des hommes essentiellement (excepté une certaine Mme Massot, présidente de l’association  la Renaissance des Halles, seuls des hommes dirigeaient les halles et marchés parisiens), vont priver les femmes, les blanchisseuses, de leur fête en substituant à une liesse populaire, une fête de prestige, un spectacle de rue. Le prétexte invoqué – comme toujours en pareil cas les adversaires avancent masqués – sera l’efficacité et l’amélioration de la fête. Il y aura aussi l’argent, grâce auquel on récompensera, on fera plus beau, etc. Et aussi le mensonge, qui consiste à dire que la chose qu’on veut organiser c’est la même fête « améliorée ». Le nom est le même, le conserver est rentable, incontournable, mais le but est différent. Ce n’est plus une fête c’est un spectacle. La création d’un somptueux char de parade accompagné par une escorte de prestige et d’un manteau de cérémonie pour la Reine des Reines (qui remplace la reine de toutes les blanchisseuses) participera de cette prise de contrôle de la Fête des Blanchisseuses par les maîtres de lavoirs. Le manteau, d’ailleurs, semble être toujours resté la propriété des organisateurs et non de la Reine des Reines. C’est ce qui paraît ressortir à la lumière d’un procès survenu en 1914 : la Reine des Reines ayant choisi de conserver son manteau en vue de le porter par la suite à son mariage, les organisateurs de l’époque – le Comité des Fêtes de Paris, – poursuivent la jeune fille en justice pour le récupérer ; finalement, ils perdent leur procès. 

Dans les années qui suivirent 1891, une rivalité éclata entre dirigeants des lavoirs, halles et marchés parisiens qui s’emparèrent de la fête à partir de 1895. Puis ils furent éliminés par le commerce parisien, représenté par le Comité des fêtes de Paris (organisme privé) qui leur succéda en 1903.  

Le 24 mars 1892, la reine des reines se nomme Henriette Delabarre. 

Elle a été élue par les autres reines, au scrutin et au premier tour, par une trentaine de souveraines de lavoir qui ont donné aux membres du parlement une leçon de justice en s’inclinant devant la grâce, devant la beauté de leur compagne. Mlle Delabarre a seize ans. Blonde, la taille élancée, très aimable, très enjouée, elle fera, dans sa riche parure d’un jour, grand honneur à sa corporation, et tout Paris s’apprête à lui faire cortège. 

 Elle habite rue des Trois-Couronnes et travaille avec sa mère, reine aussi jadis, et sa jeune sœur au lavoir Moderne de la rue Oberkampf. [...] 

Il arrive également que l’on favorise les occasions de concurrence au prétexte d’honorer les blanchisseuses : c’est ainsi, par exemple, que pour une cavalcade organisée à Boulogne-sur-Seine le 1er juin 1913, est élue le 4 mai qui précède une Reine des Reines des 6000 blanchisseuses de la ville. [...] 

   Le Comité des fêtes de Paris, à partir de 1921, se révèle incapable de gérer ce qui reste de la fête des blanchisseuses. Il discute même de l’idée de déplacer la Mi Carême à un autre moment de l’année situé en dehors de la période traditionnelle et où le temps serait plus doux. Après diverses innovations douteuses, la fête disparaît dans les années 1930.   

Après la Grande Guerre, l’aventure redémarre très vite. Mais une crise frappe le comité organisateur qui s’éloigne de plus en plus de la tradition entraînant l’essoufflement progressif de la fête. Elle disparaît dans les années 1930, même si défilent encore un très grand cortège en mars 1946 et des cortèges d’enfants sur les Champs-Elysées, dans les années 1950 et jusqu’en 1960. 

Sources :  Wikipedia : Mi-Carême au Carnaval de Paris 
                               Reines du Carnaval de Paris 
                              Le marché aux blanchisseuses dans la rue aux Ours, Paris 1874 

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LE LAVOIR DU VILLAGE : UN LIEU DE VIE.

Posté par francesca7 le 31 mai 2013


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LE LAVOIR DU VILLAGE : UN LIEU DE VIE. dans LAVOIRS DE FRANCE ustensilesLe lavoir est un espace public; un lieu de vie réservé aux femmes comme le café du village l’est aux hommes. C’est au XVIIIème siècle que l’on construit la première génération de lavoirs dont l’architecture va s’améliorer avec la loi de 1851 sur l’hygiène. Il est souvent couvert et fermé pour  protéger les lavandières des intempéries. Situé naturellement à proximité d’une source en eau, il est généralement composé de plusieurs bassins : la fontaine, puis le rinçoire (où on dégage le linge des restes de saleté et de savon),  le lavoir, et bien souvent  l’abreuvoir en aval destiné aux animaux.

L’aire de travail est souvent faite en pierres de taille et l’accès est pavé.

Le lavoir était réputé pour être un lieu de médisance mais la solidarité était présente, ne serait-ce que pour tordre le linge à deux en sens inverse. Les conditions de travail y étaient très pénibles : les mains des femmes, plongées dans l’eau froide et parfois glacée l’hiver, en ressortaient meurtries, gercées et crevassées. Elles faisaient une grande consommation de la pommade en tube « snowfire ».

LES USTENSILES DE LA LAVANDIERE.

La brouette :  Il fallait faire trois voyages ou plus dans la journée(parfois plusieurs kilomètres pour aller au lavoir du pays) pour pouvoir emmener les corbeilles de linge sale, le coffre, le battoir, parfois la planche à laver, et naturellement le savon et la brosse.

Et la brouette  (la beurouette en patois morvandiau) n’était pas d’une grande capacité.

La bue en famille à Courottes (Arch. Priv. M.L Couhault)

Le coffre : on l’appelle aussi le  cabasson, ou boîte à laver, souvent aussi  le carrosse (ou parfois caisse, auget…). Renforcé avec des chiffons ou de la paille,  et calé au bord de la pierre à laver,  il permettait à la lavandière de se mettre à genoux.

Le battoir à linge : on l’appelle plus communément le tapoir, en patois morvandiau  le tapoué. La lavandière mettait le linge en boule et  « tapait » dessus avec une grande énergie : elles tapoueillaient !

La planche à laver: on l’utilisait lorsqu’on lavait à la rivière ou à la fontaine : elle remplaçait la pierre  à laver du lavoir.

Le chevalet : fabriqué en bois, il permettait de suspendre provisoirement le linge et de le faire égoutter.

Le savon : ce savon, qui va naturellement servir à décoller la crasse et à détacher le linge sale, n’est pas n’importe lequel : le gros savon de Marseille, conditionné en forme de gros cube. Jadis, on pouvait également utiliser la  saponaire, appelée aussi  herbe à foulon (dans certaines régions, les foulons piétinaient – foulaient au pied – la laine dans des bassins), dont les racines ont particularité de faire de la mousse. On l’utilisait en décoction froide. La saponaire est une plante à fleurs violacées qui pousse au printemps au bord de l’eau.

La brosse : c’est bien sûr la brosse à chiendent, faite pour qu’aucune tache ne lui résiste.

- Le savoir faire de nos grands parents : la bue ou la grande lessive - Mémoires vivantes /bulletin18   

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