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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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INITIATION A LA TERRE BRETONNE

Posté par francesca7 le 28 mai 2013


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Par Julien GRACQ – Lettrines II Corti 1974

 

INITIATION A LA TERRE BRETONNE dans Bretagne bretagne

 Pour qui a décidé de la traverser vite – trop vite – peu de pays en France quand on les visite protestent aujourd’hui aussi prosaïquement — aussi sainement — que la Bretagne contre une certaine idée convenue qu’on s’est faite d’eux par les vieux livres. Pour elle, comme pour nous, les temps sont allés vite, et elle ne les récuse pas. La Bretagne a cessé de vivre, si elle l’a jamais fait, de souvenirs et de légendes. Pennbaz, terre-neuvas, binious et bombardes, diablotins, korrigans et lavandières de nuit, toutes ces images d’Epinal d’un répertoire un peu falot qui ne mérita jamais beaucoup mieux qu’un moment de triomphe au music-hall ont réintégré le musée folklorique, et c’est tant mieux: l’essentielle, la solide Bretagne n’a jamais rien eu à voir avec le pittoresque. La campagne fait peau neuve ; le bocage aux chemins creux de Jean Chouan s’en va par plaques ; les goélettes des pêcheurs d’Islande sont depuis longtemps motorisées. Le pays de Cadoudal est devenu celui du syndicalisme paysan le plus avancé, le plus combatif de France. A travers la grisaille des champs et des vagues, on distingue partout le labeur pauvre encore (déjà moins pauvre), mais nullement routinier, et encore moins résigné, d’une race noueuse et tenace, tout ensemble rêveuse et brutale, qui ne plaint pas sa peine et se réconforte parfois dans ses fatigues à des alcools plus violents que la chanson des flots bleus.

     Qu’on ne vienne donc pas chercher dans ce Finistère — une des provinces les plus humanisées de la France — les bruyères d’Ossian ou les solitudes de l’Ecosse ou de la Cornouaille. En avançant vers la pointe de Penmarc’h, quand les lignes d’arbres du bocage se couchent à terre l’une après l’autre, fauchées par la mitraille du noroît, c’est le troupeau des maisons basses qui les relaie jusqu’à la mer et s’ébroue comme dans une prairie à travers la presqu’île – et par les brumes opaques du  » miz du  » (mois noir) dans le claquement perpétuel du linge qui sèche derrière les petites maisons, si on se promène le long du rivage tragique de la Chapelle de la Joie, de tous côtés, à six heures du soir, la corne de brume est relayée par la sirène des conserveries. La Bretagne d’aujourd’hui n’est pas complaisante à la rêverie facile. Ni déserte, mais fertile en hommes, et le sang tiré à la peau comme «  corps qui respire bien  ». Ni même grise, pour la mélancolie qui se promène sur la lande de René; la Bretagne de main d’homme est blanche, de tous ses pignons chaulés à cru, et presque autant que la Grèce ou que l’Andalousie; appliquée seulement, on dirait, au travers de ses pluies, à nous faire comprendre que le blanc puisse être la couleur parfaite du deuil. Peu importe ces surprises du tourisme trop bien informé; une certaine frontière intime d e l’âme s’éveillera toujours en Bretagne: celle où le sentiment nu de la solidité élémentaire est confronté à tous ses dissolvants.(…)

     La mer, bien sûr, est le spectacle envahissant et plus changeant encore vers lequel la terre — pénétrée, déchirée par elle — dévale de partout: jusqu’à des lieues à l’intérieur la côte ici est placée sous son invocation: Ar Mor. C’est une mer plus que sérieuse, encore parée de ses attributs les moins rassurants, où les canots de sauvetage ne chôment pas, et où la Société des Hospitaliers et Sauveteurs bretons garde du pain sur la planche. Une mer encore fée, et parfois mauvaise fée, grosse encore de prodiges, comme lorsqu’elle poussait au rivage des auges de pierre, ou la voile noire de Tristan de Loonnois. Il faut l’entendre, au creux des nuits d’hiver, lorsque le grondement des rochers de la Torche, à vingt-cinq kilomètres, éveille encore vaguement les rues mouillées de Quimper comme une préparation d’artillerie. Et quiconque l’a beaucoup regardée, aux avancées sauvages des Pois ou du Raz, à Penmarc’h couvrant furieusement les toits au loin d’une neige terne d’écume fouettée, dormante aux étranges rives japonaises de la rade de Brest vers Roscanvel, sous les levers de soleil de Morgat, ou dansante, nue et ivre, dans ses très beaux jardins de rochers et d’écume de Ploumanac’h, ne désirera plus beaucoup la voir ailleurs.  » Ce qu’il y a d’agréable en Bretagne, a écrit Roger Nimier, c’est qu’il n’y a pas de monuments à visiter.  » Pour ceux qu’elle aura choisis, c’est peu de visiter la Bretagne ; il faut la quitter en souhaitant d’y vivre, l’oreille contre ce profond coquillage en rumeur, et son appel est celui d’un cloître au mur défoncé vers le large : la mer, le vent, le ciel, la terre nue, et rien : c’est ici une province de l’âme. « Les Celtes, écrit Flaubert dans Salammbô, regrettaient trois pierres brutes, sous un ciel toujours pluvieux, au fond d’un golfe rempli d’îlots. »


Lettrines
, extrait de Tableau de Bretagne, p.217 et suivantes.

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Au phare de Saint Mathieu

Posté par francesca7 le 28 mai 2013


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Au phare de Saint Mathieu dans Bretagne st-mathieu

En compagnie de son ami Maxime du Camp, Gustave Flaubert (1821-1881) parcourt à pied Bretagne et Normandie, de la Loire à la Seine, au printemps de 1847. Le futur auteur de Madame Bovary, encore influencé par le romantisme ambiant, consigne ses impressions dans un recueil intitulé Par les champs et par les grèves, œuvre publiée après sa mort. Le voici  à la pointe du Finistère, le regard tourné vers l’océan :

Au phare de Brest. (Saint-Mathieu) — Ici se termine l’ancien monde; voilà son point le plus avancé, «sa limite extrême». Derrière vous est toute l’Europe, toute l’Asie; devant vous c’est la mer et toute la mer. Si grands qu’à nos yeux soient les espaces, ne sont-ils pas bornés toujours, dès que nous leur savons une limite? Ne voyez-vous pas de nos plages, par delà la Manche, les trottoirs de Brighton, et, des bastides de Provence, n’embrassez-vous pas la Méditerranée entière, comme un immense bassin d’azur dans une conque de rochers que cisèlent sur ses bords les promontoires couverts de marbres qui s’éboulent, les sables jaunes, les palmiers qui pendent, les sables, les golfes qui s’évasent? Mais ici plus rien n’arrête. Rapide comme le vent, la pensée peut courir, et s’étalant, divaguant, se perdant, elle ne rencontre comme eux que des flots; puis, au fond, il est vrai, tout au fond, là-bas, dans l’horizon des rêves, la vague Amérique, peut-être des îles sans nom, quelque pays à fruits rouges, à colibris et à sauvages, ou le crépuscule muet des pôles, avec le jet d’eau des baleines qui soufflent, ou les grandes villes éclairées en verres de couleur, le Japon aux toits de porcelaine, la Chine avec les escaliers à jour, dans des pagodes à clochettes d’or.

C’est ainsi que l’esprit, pour rétrécir cet infini dont il se lasse sans cesse, le peuple et l’anime. On ne songe pas au désert sans les caravanes, à l’Océan sans les vaisseaux, au sein de la terre sans les trésors qu’on lui suppose.

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Rance (fleuve)

Posté par francesca7 le 28 mai 2013

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Rance (fleuve) dans Bretagne rance-300x199En Bretagne, il y a bien longtemps, la Rance n’était qu’un mince filet d’eau parcourant une faille du massif hercynien et se jetait dans une mer bien plus éloignée des côtes actuelles !

Issue de profondes modifications géologiques sans doute influencées par les éruptions volcaniques dont la Bretagne était le théâtre, son environnement s’est formé et adouci au cours des siècles.

Poussées par les vents violents qui balayaient la Bretagne, les terres ont recouvert, petit à petit, un sol rude composé alors en grande partie de rochers et de failles.

De filet d’eau, la Rance devint ruisseau, se scindant en deux bras, l’un se dirigeant vers la pointe du Décollé, l’autre se faufilant entre l’actuelle île de Harbour et la « Pierre du Jardin » après avoir longé le Petit Bé. Ils alimentaient au passage une succession de prés et de marécages. Les forêts se sont alors développées, entrecoupées de prairies verdoyantes, une faune et une flore variées se sont acclimatées … et l’homme est venu.

La côte d’Emeraude, du Cap Frehel jusqu’à la pointe de La Hague, était une vaste forêt : la forêt de Scissy. La plupart des îles et rochers, visibles maintenant à marée basse uniquement, faisaient partie de terres parcourues et exploitées par les hommes qui s’y installèrent. Ils établirent quelques villages dans les herbus qui allaient jusqu’à Cézembre et les Pointus.

La Rance traverse deux départements et les communes suivantes (d’amont en aval) :

  • Côtes-d’Armor 
  • Ille-et-Vilaine 

La longueur de son cours d’eau est de 102,2 km.

Le cours de la Rance peut être divisé en trois parties :

  • La Rance fluviale de la source jusqu’à hauteur d’Évran où le canal d’Ille-et-Rance la rejoint.
  • La Rance fluviale canalisée jusqu’à l’écluse du Châtelier.
  • La Rance maritime jusqu’à l’usine marémotrice de la Rance et ensuite son estuaire jusqu’à la Manche.

Le nom primitif de la Rance désormais reconnu est Reginca dérivé fomé avec le suffixe : inco sur la racine celtique : reg arroser, baigner.

Le terme viendrait du gaulois *rinc- «bruit strident ». Des formes moins anciennes attestées sont Renc et Rinctus (ixe siècle).

Son nom est Renk en breton.

Son nom participe à la toponymie du canal d’Ille-et-Rance, à la communauté de communes Rance – Frémur, au SAGE Rance Frémur Baie de Beaussais5 et à de nombreuses communes : Le Minihic-sur-Rance, Plouër-sur-Rance, Pleudihen-sur-Rance, Langrolay-sur-Rance, La Vicomté-sur-Rance, Saint-Samson-sur-Rance.

La Rance (Renk en breton) est un fleuve côtier de l’ouest de la France, au nord de la Bretagne. Elle prend sa source dans les monts du Méné à Collinée, dans le département des Côtes-d’Armor, et se jette dans la Manche entre Dinard et Saint-Malo dans le département d’Ille-et-Vilaine.

Elle n’est pas à confondre avec la Rance, rivière du Cantal passant notamment à Maurs, ni avec le Rance coulant dans l’Aveyron et le Tarn.

  • La Rance est barrée près de son embouchure par le barrage à écluses de l’usine marémotrice de la Rance qui exploite les ressources des fortes marées s’engouffrant dans son estuaire pour produire de l’électricité.
  • L’écluse du Châtelier marque la limite entre la Rance fluviale (eau douce) et la Rance maritime (eau saumâtre), soumise aux marées décalées de l’usine marémotrice.
  • D’autres écluses permettent aux bateaux de rejoindre le canal d’Ille-et-Rance.
  • Le barrage de Rophémel sur la commune de Guenroc, près de Caulnes, retient 7 millions de m3 d’eau.

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Etangs, creux, mares, fontaines et puits

Posté par francesca7 le 28 mai 2013

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Etangs, creux, mares, fontaines et puits dans Bourgogne leau

L’eau est partout présente dans toutes les petites communes de France. Par chez moi en Bourgogne, le sol retient facilement celle qui tombe, qui ruisselle ou qui s’infiltre. Presque toutes les maisons du village possèdent un puits ou disposent d’un point d’eau à proximité :

-          Creux de la Pageosse,

-          Creux du Chine,

-          Creux des Abreuvoirs,

-          Creux de la Fontaine St Pierre,

-          Creux de la Maison Auclair,

-          Creux de la Mouille,

-          Creux de la Mouillotte,

-          Creux de la Fontaine Chevalier,

-          Creux de Pierre Grosse,

-          Creux du Ru Connais,

-          Creux Vivier,

-          Etang des Méchants Prés

-          Etangs des Vernots,

-          Etangs du Pautet

-          Etang de Cassin

-          Etang de Matro….

 dans COURS d'EAU-RIVIERES de FranceLes creux et mares étaient loués par les cultivateurs qui les utilisaient comme abreuvoirs et aussi pour leurs canards et leurs oies. Malgré les locations à des particuliers, dont bénéficiait la commune, l’accès libre de tous à ces points d’eau, était la règle.

De très nombreux puits ont été creusés un peu partout dans le village et ses hameaux. Le puisatier recherche l’eau avec une baguette de noisetier ayant la forme d’une fourche. Il cherche pas à pas l’endroit où il faudra creuser et trouve celui-ci lorsque la baguette se met à s’agiter, à tourner dans ses mains. Là où son instrument « réagit » en venant de plusieurs directions indique le lieu idéal. Le puisatier peut également trouver l’eau avec un pendule ; ce dernier indique aussi la profondeur à laquelle se trouve la source ou la nappe ; arrivé au bon endroit, le pendule tourne. On met des petits cailloux dans la main libre de celui qui tient le pendule, jusqu’à ce qu’il s’arrête d’osciller ; a ce moment, il suffit de compter les cailloux pour connaître, en mètres, la profondeur à creuser.

A l’étang des Vernots par exemple, situé au creux d’un vallon entre Dompierre en Morvan et Villars, est à la dispositoin des habitants depuis la fin du 19ème siècle. Ses eaux sont particulières car elles ont des propriétés alcalines (basiques) qui ont la réputation de rincer comme aucune autre la toison grasse des moutons. On vient également y faire la lessive de Dompierre et de Villars, en cas de sécheresse, mais en prenant bien soin de rester chacun sur sa rive pour éviter les conflits. Avant 1900, près de cet étang, au lieu-dit de « Bretagne », les habitants creusaient des fosses d’une certaine profondeur pour y mettre à tremper le chanvre récolté dans les chènevières. Il séjournait dans l’eau une quinzaine de jours, avant d’être lavé puis séché pour en retirer la filasse que les femmes filaient à la quenouille ou au rouet. Les écheveaux de fil obtenus était ensuite tissé et servaient à fonctionner les draps, les sacs, les habits. Cette rude toile bise s’appelait la « bouège ».

Extrait d’une rédaction de J.C en CE2 de juin 1922

« Un jour, j’ai suivi le Ru Chaudin qui coule dans un pré au-dessous du village ; le sol est humide et l’air frais. Le ruisseau est bordé de saules, de chênes et de frênes. L’eau coule sur le sable fin, la cascade fait tourner le moulineau de bois. Un petit pont le traverse. Le ruisseau est bordé de joncs et de roseaux. Des fleurs nombreuses y poussent ; des reines des prés, des jeannettes….

Le ruisseau est très utile parce qu’il abreuve les vaches, les moutons et arrose les prairies ; il clapote en arrivant sous l’arche du pont. Il va se jeter dans le Serein et le voilà englouti. Il  est l’image de la vie. Quand l’enfant est petit, il est insouciant puis il grandit, il travaille, meurt sans pouvoir recommencer sa vie ; le ruisseau ne peut pas remonter à sa source… »

 

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