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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Chevalier médiéval en armure

Posté par francesca7 le 18 mai 2013


 

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Chevalier médiéval en armure dans AUX SIECLES DERNIERS armure

L’armure du chevalier est un accessoire très important dans la chevalerie. Plus d’une centaine de pièces pouvaient constituer une armure, et le destrier du chevalier avait autant de pièces pour le protéger. Au début de la chevalerie, il n’y avait que des armures en cotte de mailles, mais avec l’évolution des armes tel que l’arbalète, elle ne fut plus efficace. C’est alors qu’on décida d’ajouter à cette cotte de mailles des plaquettes de fer ou du cuir d’animal sécher. 

Le chevalier en armure de fer était né! Voici les diverses pièces d’armure du chevalier et de son destrier au Moyen-Âge. 

BLIAUT 
 Le bliaut était un tissu mince qui recouvrait le haubert. Il était décoré des couleurs du chevalier. Il servait à la reconnaissance du chevalier au même titre que l’écu et empêchait de ce fait même l’armure de rouiller. 

CHAUSSE 
 Les chausses, faites d’étoffe ou de mailles de métal, recouvraient les pieds et les jambes du chevalier. 

COTTE DE MAILLES 
 La cotte de mailles rendait difficile pour l’épée ou la lance de l’adversaire d’atteindre le coeur. Elle était composée de 200 000 pièces et pouvait peser jusqu’à 30 livres. Avec le temps et l’amélioration de l’entrelacement des mailles, l’armure pouvait se porter seule et rendait le chevalier beaucoup moins maladroit et lourd. De plus, elle pouvait se rouler dans un petit sac pour les voyages. Elle se nettoyait en la mettant, avec du sable et du vinaigre, dans un sac de cuir, puis on brassait le mélange. 

 DESTRIER 
Le destrier était le cheval de combat du chevalier. L’écuyer doit le mener de la main droite (dextre), d’où vient son nom. Le palefroi était, contrairement au destrier, qu’un cheval de promenade. 

 ÉCU 
L’ écu était le bouclier du chevalier. Il était à l’origine rond, mais il fut transformé en forme oblongue de manière a couvrir le chevalier de l’épaule jusqu’au pied. Il pouvait mesuré jusqu’à 1,30 mètres de haut et 56 centimètres de large. La surface du boulier était bombée. On fabriquait les boucliers en assemblant des planches cintrées dans le sens transversal. L’intérieur était matelassé et le dessus était recouvert de cuir. Le tout était relié par une armature de bandes de métal qu’on ornait. Certains écus possédaient une boucle (sorte de bosse en métal) au centre. Lorsque le chevalier ne se battait pas, il pendait l’écu à son cou par une large courroie de cuir richement ornée. S’il advenait que le chevalier meurt en bataille, on ramenait le corps inanimé dans le bouclier. Le bouclier pouvait aussi orné un blason qui caractérisait le chevalier. 

ÉPÉE 
L’épée est un être à part entière qui possédait un nom ainsi qu’une généalogie, une biographie et ses annales. Le chevalier la garde pendant toute sa vie et va même jusqu’à converser avec elle. L’épée se compose en trois parties distinctes : la lame, les quillons et la fusée, ainsi que le pommeau. La lame, longue d’un à deux mètres, est faite d’acier et elle pouvait posséder plusieurs formes. La plus fréquenté est l’épée dite normande qui était courte et large du talon. La pointe était formée par une faible diminution et elle était allégée par une gorge qui la parcourait de toute sa longueur. Cette lame est protégée par le fourreau qui était un objet de luxure orné de pierres. Les quillons étaient droits ou recourbés vers la pointe. La fusée, c’est-à-dire la poignée, était droite et mince. Ces parties de l’épée étaient richement décorées. Le pommeau était formé d’un disque d’un éclat métallique dans lequel des reliques y étaient enfermées. 

 ÉPERON 
L’éperon, généralement fait de fer, était petit mais il était le signe même de la chevalerie. Il servait ordonner au cheval un ordre. 

ÉTRIER 
L’étier a été inventé en Chine vers l’an 700 a rendu beaucoup plus stable les combats à chevaux dans les années 1050. C’était une bande de cuir munie d’un anneau attachée à la selle. 

FEUTRE 
Le feutre était un bourrelet placé devant la selle afin que la lance du chevalier trouve appui au moment de la charge.

GAMBISON 
Le gambison était un vêtement long qui se portait sous le haubert. 

GANTELET 
Le gantelet est un gant d’armure servant à protéger la main et le poignet du chevalier.

GONFANON 
Le gonfanon était un étendard fait d’étoffe qui était attaché à la lance. 

GUISARME 
 Cette longue arme était composée d’une lame recourbée en forme de faucille et d’une pointe droite.

HAUBERT 
 Le haubert est la côte de mailles du chevalier que l’on portait par-dessus des autres vêtements. Avant le haubert, on utilisait le broigne: une grossière tunique de cuir sur laquelle était cousue des pièces métalliques. Avec le temps, l’idée d’entrer des anneaux les uns dans les autre est venue et le haubert est né. Cette pièce de l’armure était la principale arme défensive des chevaliers. Le haubert était une véritable chemise de mailles d’acier fine et serrées avec de longues manches et un capuchon Les mailles étaient souvent doublées ou triplées pour accroître la protection des membres. 

On teignait aussi les anneaux pour donner de la couleur aux armures. Les extrémités des hauberts étaient brodées grossièrement avec du fil d’archal. On entrelaçait des fils de couleurs afin de créer les motifs. Ce type de broderie était nommé safre. Les manches du haubert s’évasaient comme un entonnoir afin de permettre une plus grande liberté de mouvements des poignets. Les mains étaient également couvertes de mailles. Le capuchon était rembourré de tissu pour protéger le crâne contre les frottements. Il ne laissait que les yeux, les lèvres et le nez à découvert. La partie inférieure du capuchon recouvrant le menton s’appelle la ventraille. Des fentes étaient pratiquées en avant et en arrière du haubert afin d’obtenir plus d’aisance lorsque le chevalier montait à cheval.

 HEAUME 
Le heaume est le casque d’acier en forme conique qui protégeait la tête du chevalier. Le heaume est composé de trois parties : la calotte, le cercle, le nasal. Un quatrième élément était présent pour certains heaumes seulement: un morceau de fer qui protégeait la nuque. La calotte du heaume était conique. Elle était renforcée par des bandes de métal qui se croisaient au sommet. Elle était surmontée d’une boule de métal colorée. Le cercle était la partie du heaume le plus riche. C’est un cercle à la base de la calotte. Ce cercle était richement décoré d’or et de pierreries. Le nasal est une barre de fer, parfois mobile, servant à protéger le nez. Cette bande rectangulaire était parfois ornées de pierreries.  On laçait le heaume par des bandes de cuir qu’on entrelaçait entre les mailles du haubert. On ne laçait le heaume que pour la bataille.

LANCE 
La lance, avec l’épée, était les armes nobles de la chevalerie. Elle se compose de trois éléments : la hanste, le fer et le gonfanon. Elle mesurait de 2,50 m à plus de 4,50 m. Elle était fait généralement en bois de différentes essences comme le frêne (le plus commun), le sapin, le laurier ou le sycomore. On peignait le bois de la lance d’une couleur, généralement d’azur ou de sinople (bleu ou vert). Le bas du hanste se terminait d’une pointe ferrée qui servait à s’arrêter ou piquer sa lance au sol. On frappait l’ennemi avec l’arestuel, une pointe en forme de losange ou de triangle. Le bois de la lance pénétrait  intérieurement la pointe ferrée jusqu’à l’extrémité et ils étaient tenus ensemble par trois ou cinq clous  argentés. Le gonfanon était de forme rectangulaire et possédait de trois à quatre pans ou langues. Il est très long et descends sur jusque sur le heaume du chevalier et il est souvent teint et orné d’armoiries. Durant la route avant le combat, la lance était portée verticalement et posée sur l’étrier droit. Lors du combat, il la couchait horizontalement sur l’épaule droite pour atteindre l’ennemi à la hauteur des haches ou sous l’aisselle.  

ORFROI 
Le orfroi était un galon d’or servant à border une banderole au bout de la lance, ou à faire des attaches d’une épée. 

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Des recherches héraldiques dans le monde entier

Posté par francesca7 le 18 mai 2013


 

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Des recherches héraldiques dans le monde entier dans AUX SIECLES DERNIERS heraldique

Maintenant que les travaux héraldiques vous sont plus familiers, vous êtes en mesure d’effectuer vos propres recherches d’armoiries.

 Imaginez comme il serait passionnant de découvrir que votre famille a le droit de porter des armories historiques. Il y a énormément d’endroits où s’adresser en Europe pour effectuer ces recherches importantes. Il existe environ 100 000 armoiries anglaises, y compris au pays de Galles et dans les six comtés d’Irlande du Nord. Elles sont répertoriées dans les archives du Royal College of Arms à Londres.

Les Ecossais possèdent leurs propres armories, régies par leurs propres traditions et règle,s comme celles de nombreuses corporations d’artisans ; les boulangers, les chirurgiens, les dentistes, les barbiers, les journalistes et même le s écuyers de cirque. Les régions e t leurs régiments, les confréries et groupes religieux, ont aussi leurs propres blasons.

L’Allemagne, la France et l’Italie n’ont pas, à proprement parler, de système héraldique. En effet, si ces pays ne sont plus des Etats monarchiques depuis longtemps, ils portent néanmoins un grand intérêt aux blasons et armories. L’Espagne, qui est à nouveau une monarchie depuis quelque s années seulement, a toujours soigneusement tenu les registres héraldiques. De nombreux pays d’Europe disposent d’organismes qui peuvent vous aider dans vos recherches sur les armoiries. Nous décrirons ici une grande partie de ces organismes et nous vous communiquerons des informations intéressantes à leur sujet.

Recherches héraldiques en France

Les documents ne se trouvent pas indifféremment dans n’importe quel dépôt d’archives. Selon leur nature et leur provenance, les lois et les règlements prévoient qu’ils doivent être conservés dans tel ou tel dépôt.

En France, il existe quatre catégories de dépôts d’archives publiques ; les Archives nationales, les archives départementales, les archives communales et les archives hospitalières, à quoi s’ajoutent les archives de l’Armée et celles des Affaires étrangères, qui sont indépendantes. Dans chacune de ces catégories de dépôts, il existe des documents d’intérêt généalogique et biographique.

L’organisation des archives publiques est faite en France selon un système alphanumérique de cotation selon le type et l’ancienneté du document recherché. L’état civil, crée en France par l’ordonnance de Villers-Cotterêt (1539) et tenu régulièrement à partir de la déclaration royale de 1736, reste la base de toute recherche généalogique. C’est par là que débute le chercheur, aidé après 1792 par les tables décennales.

Diverses sources, touchant aux naturalisations, légitimisations, changements de noms, etc. viennent compléter l’état civil. De l’état civil, le chercheur sera tenté de pousser ses investigations dans les fonds notariaux pour y rechercher entre autres, les contrats de mariage et les inventaires après décès. C’est là une source essentiellement départementale, même si, par exception, le minutier central des notaires de paris est conservé aux Archives nationales avec quelques traces départementales dans la sous-série ZZ. De même, les notaires d’outremer dépendent de la section de ce no maux Archives nationales.

 Il arrive parfois que les archives notariales aient disparu. Comment les remplacer ?

C’est là qu’interviennent les fonds de l’insinuation, de l’enregistrement et des hypothèques, où le chercheur trouvera les actes, retranscrits intégralement dans certains cas, simplement mentionnés dans d’autres. En outre, s’il est relativement facile de retrouver dans une ville de province un acte dont on connaît la date, comment repérer un acte, même en connaissant sa date, dans les cent vingt deux études de Paris, si l’on ne connaît pas le nom du notaire chez qui il a été passé ?

C’est là que les tables des insinuations au Châtelet permettront dans bien des cas au chercheur de retrouver le nom du notaire, après quoi il n’aura plus qu’à passer de la salle des inventaires des Archives nationales à la salle de lecture du minutier central, où il pourra situer beaucoup plus rapidement sa recherche. Autres sources de renseignements : les recensements d e population (particulièrement riches à partir du 19ème siècle), les listes électorales, les archives militaires, fiscales, judiciaires et policières, culturelles.  Ces documents concernent toutes les familles : mais il existe des sources concernant plus spécialement telle ou telle catégorie de Français : les fonctionnaires et, sous l’Ancien Régime, les officiers, diverses carrières sur lesquelles les Archives sont mieux renseignées (artistes, certaines catégories d’intellectuels, médecins, pharmaciens, officiers ministériels), la noblesse, les personnes décorées.

Certaines archives privées ont été remises aux Archives, qu’il s’agisse d’archives personnelles et familiales ou d’archives d’entreprises, d’associations et de syndicats, et peuvent aussi aider le chercheur de même que parfois la sigillographie et l’héraldique. Tous ces documents se trouvent aux Archives nationales, départementales, communales ou hospitalières.

 Dans la consultation de ces archives, il faudra être particulièrement vigilant envers certaines modifications administratives : dépôt des archives de Paris, et de  l’ancien département de la Seine ; dépôts d’archives des départements correspondant en totalité ou partiellement à des territoires tardivement rattachés à la France (Alsace, Savoie, comté de Nice, Corse, Flandre et Hainaut) ; dépôts des départements et territoires d’outre-mer.

 

doc à consulter …

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Le port des armoiries

Posté par francesca7 le 18 mai 2013


 

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Conformément à la plupart des règles héraldiques, seul le fils aîné du bénéficiaire d’une cotte d’armes avait le droit de porter les armoiries de ses ancêtres. Les fils cadets pouvaient réutiliser les armories de leur père. Cependant, les règles héraldiques veulent que l’on modifie les armes paternelles pour distinguer la branche cadette de la branche principale (ce procédé est appelé « brisure »). Si le porteur d’un blason (un ayant droit aux armories) meurt sans héritiers m$ales, sa fille peut combiner les armories de son père et celles de son mari. Même si ces principes semblent aujourd’hui très archaïques, très rigides et formaliste,s ils nous donnent une idée de la richesse de la tradition héraldique à travers les âges et de la protection dont les blasons et armories ont fait l’objet.

Il existe aujourd’hui plus d’un million de noms de famille dans le monde. Cependant, seulement 75 000 peuvent être associés à une cotte d’armes. On ne peut prétendre, ni même insinuer que quelque soit le blason, il ait une quelconque relation généalogique avec vous ou votre famille. Cependant, vous souhaitez peut-être adopter un cimier pour votre usage personnel ; ou bien posséder votre propre blason, dessiné et déposé, en conformité dans les usages et les règlements du pays dans lequel vous vivez. Ceci est tout à fait possible de nos jours.

Le port des armoiries dans AUX SIECLES DERNIERS armoiries

 

l’illustration ci-dessus représente un exemple d’armories. Composées principalement d’un bouclier, d’une courtine, d’un casque, d’une troque, d’un cimier et d’un emplacement pour une devise, elles décrivent les objets que le chevalier portait quand il allait livrer bataille. Une partie extérieure, servant souvent de soutien au bouclier et aux supports, pouvait être ajoutée. Etres humains, animaux ou animaux mythiques servaient de supports au bouclier. Fréquemment, la devise, qui rappelait le nom du chevalier ou son cri de guerre, était placée sur un ornement extérieur appelé listel.

 

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