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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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LES MAISONS RURALES EN JURA

Posté par francesca7 le 16 mai 2013


Au cours des siècles, les maisons rurales ont suivi l’évolution du travail des champs, subi l’influence des régions voisines et des nouveaux procédés de construction ; elles montrent cependant combien les hommes ont su s’adapter aux particularités de leur province et en tirer parti. Dans les grandes régions jurassiennes, la « montagne », les « plateaux », le « vignoble », les activités des hommes et leurs modes de vie liés au sol, à l’environnement, au climat ont façonné des types d’habitation bien définis. De nos jours, les traits essentiels des maisons rurales traditionnelles se retrouvent parfois dans les constructions modernes de conception toutefois moins massive et apparemment uniformisée.

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La maison de la « montagne – Trapue et ramassée, elle adhère largement au sol et n’offre aucune prise au vent. Ses murs de pierre, épais et bas, sont percés de fenêtres minuscules ; ceux exposés au vent et à la neige sont protégés par des lamelles de bois, les « travaillons ». La très vaste toiture, autrefois recouverte de « bardeaux » ou de « laves » (tuiles grises en pierre calcaire composée de fines lamelles), l’est aujourd’hui de tuiles comtoises plates ou plus communément de tôle. En hiver, les murs disparaissent sous la neige ; l’épais matelas de fourrage entassé dans la grange située sous le toit abrite de sa chaleur hommes et bêtes ; les provisions et l’outillage nécessaires au cours des longs mois froids sont rassemblés à l’intérieur. Cette maison comprend à la fois des pièces d’habitation, l’étable et la grange. Le rez de chaussée est occupé par les pièces de résidence : l’ « houteau » (la cuisine) presque toujours muni d’une vaste cheminée, le « tuyé », où sont fumés, au bois de sapin ou de genévrier, les morceaux de porc et de bœuf, et le « poêle », vaste salle chauffée, servant à la fois de chambre à coucher et de salle à manger pour les grandes occasions. A côté, l’étable avec laquelle il est toujours possible de communiquer sans qu’il soit nécessaire de sortir ; a l’étage et généralement au dessus de l’étable s’étend la grange où est pratiquée la « revêtue », ouverture qui permet de déverser directement le fourrage dans l’étable, voir dans les mangeoires des animaux. On atteint la grange par un raidillon extérieur, la « levée ». Dans les régions très proches de la Suisse, les maisons, quelquefois plus élevées et plus grandes, peut-être aussi plus coquettes avec leurs balcons fleuris, ménagent une place plus important eaux décors de boiseries. Dans la montagne on en rencontre encore des « chalets » disséminés dans les alpages. Sur un socle de pierre, c’st une construction de vois destinée à abriter le vacher. Là se travaillait le laitage et se préparaient les fromages qu’autrefois on se descendait que de temps à autre à la ferme ou au village.

La maison des « plateaux » - Elle présente des similitudes avec la maison de la montagne et abrite toujours sou un toit hommes et bêtes ; cependant, elle est généralement plus haute et coiffée d’un toit rectangulaire aux extrémités rabattues et recouvert de tuiles comtoises ou de simples tuiles rouges. Au rez de chaussée, deux murs de refend divisent la surface sur toute sa longueur ; le logement est ainsi séparé de l’étable par la grange, à laquelle on accède latéralement par une porte en plein cintre, « Houteau » et « poêle » constituent toujours l s pièces principales mais souvent le premier étage est aménagé en chambres.

La maison du « vignoble » – Elle se distingue de la maison des plateaux par ses dimensions plus modestes et par la place importante réservée aux caves, nécessaires, au travail du vigneron. Celles-ci sont souvent très grandes, voûtées, soutenues par des piliers, et s’ouvrent sur la façade par une porte en plein cintre à laquelle on accède en descendant quelques marches ; le premier étage, que l’on atteint par un escalier et une galerie extérieurs, parfois agrémentés d’une treille et protégés par un auvent, est occupé par les pièces d’habitation.

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Des arts décoratifs en Jura

Posté par francesca7 le 16 mai 2013


Les horloges comtoises – Les premières horloges paysannes dites «  à gaine » ou « de parquet » firent leur apparition vers 1670 en Franche Comté. Leur fût, parallélépipédique ou galbé suivant le goût en vigueur leurs de leur création, était réalisé en chêne ou en bois fruitiers et animé de moulurations plus ou moins recherchées. A partir de 1850, le sapin l’emporte et des décors peints à sujets naïfs apparaissent ; à l’origine, une seule aiguille de fer parcourait le cadran simplement verni. Par la suite, les cadrans pouvaient être ornés d’un médaillon central ou surmontés d’un fronton stylisé de cuivre ou de bronze doré. Parfois, au centre du fût un oculus vitré permet d’apercevoir le mouvement du balancier de fer ou de suivre ouvragé qui régularise la descente des poids. 

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le fer forgé – Le fer forgé a connu au 18ème siècle un grand développement. Des ensembles comme la grille de l’hôpital St Jacques à Besançon et celle de l’hôpital de Lons le Saunier rivalisent avec les chefs d’œuvre de Jean Lamour à Nancy. A Dole (palais de Justice), à Conliège, on verra d’autres pièces. Dans les vieilles rues de Dole et de Besançon, on remarque les grilles ventrues qui protègent les fenêtres. Elles seraient au moins pour leur nom – les « rejas » – une trace de l’influence espagnole ; sans doute leur renflement a-t-il été imaginé pour permettre aux Bisontines, comme aux Sévillanes, de glisser au-dehors une tête curieuse, mais le climat jurassien n’est guère propice au x sérénades dont ces grilles sont le cadre habituel en Andalousie.

LES FONTAINES – les fontaines, nombreuses en particulier dan s le DOUBS, et en Haute Saône, sont avec les églises classiques les éléments les plus marquants des villages comtois. Construites pour la plupart du milieu du 18ème siècle aux années 1870, elles se caractérisent par leur recherche architecture et leur monumentalité ; point de rencontre obligé des personnes et des bêtes, elles furent pendant longtemps au centre de la vie rurale, comme en témoignent leur situation privilégiée au cœur des places. Elles associent généralement les différentes fonctions de fontaine, lavoir et abreuvoir. La grande période de construction de ces fontaines-lavoirs s’ouvre vers 1820 et introduit au cœur des villages une architecture classique inspirée de l’archaïsme grec. Les plus simples ressentent découvertes et parfois se signalent par une colonne centrale plus ou moins ouvragée. D’autres s’abritent sous de hauts toits soutenus par des piliers droits, des colonnes ou des arcades (fontaines de Gy, Etuz). Elles peuvent aussi se présente sous la forme de petits temples ronds (fontaine de Loray) ou de nymphées en hémicycle. Dans certains villages, la mairie a été construire au-dessus du lavoir comme à Beaujeu.

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PEINTURE ET SCULPTURE EN JURA

Posté par francesca7 le 16 mai 2013


La Franche Comté ne peut se targuer d’avoir abrité une école régionale e peinture et ne sculpture. Bien qu’ayant subi dans ces deux domaines des influences principalement bourguignonnes et flamandes, de nombreuses œuvres d’art révèlent néanmoins le talent des artistes locaux.

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La peinture semble avoir connu un large développement dès les 12ème et 13ème siècles, alors que la sculpture n’en était qu’à ses balbutiements. Aussi, dans les églises, les effets décoratifs revenaient à la peinture murale, très usitée aux époques romane et gothique. Les 14ème et 15ème siècles voient se diffuser parallèlement à cette technique un art du retable qui dénote des influences essentiellement flamandes (retable de la Passion du musée de Besançon). Malheureusement, au 16ème siècle, l’élan des primitifs comtois ne trouve pas de suite : seul Jacques Prévost, formé en Italie, réalise alors des œuvres de qualité (triptyque de Pesmes). Aussi, les nobles et les bourgeois profitent de leurs voyages pour acheter des tableaux flamands et italiens dont certains appartiennent toujours au patrimoine franc-comtois (église de Baume les Messieurs, cathédrale et musée des Beaux Arts de Besançon).

A partir du siècle suivant, l’art français perd ses particularités régionale et la Comté peut alors se prévaloir d’avoir donné naissance à quelques artistes connus ; l’habile peintre de batailles Jacques Courtois (1621-1676), le portraitiste bisontin Donat Nonotte (1708—1785) et surtout Courbet (1819-1877), ardent défenseur du réalisme. Contrairement à la peinture, la sculpture resta dédaignée des maîtres comtois à l’époque romane et n’orna que de façon exceptionnelle les chapiteaux (cathédrale de Besançon) et les portails des églises.

Au 13ème siècle apparaît une statuaire artisanale de bois, naïve et émouvante quoique malhabile, composée principalement de Vierges. Il faut attendre le 14ème siècle pour que voie le jour un véritable courant de création, influencé par l’art bourguignon et notamment par Claus Sluter. Le réalisme et la puissance expressive du maître marquèrent toute la production du 15ème siècle et même le début du 16ème (nombreux exemples à la collégiale de Poligny et remarquable St Paul à Baume les Messieurs) ; Dès cette époque se développa également l’art du mobilier religieux ;: les magnifiques stalles de St Claude (15ème siècle) et celles plus tourmentées de Montbenoît (16ème siècle) en sont la preuve ;

Au 16ème siècle, les formes s’assagissent : des sculpteurs italiens sont appelés sur les chantiers comtois ; la tradition gothique est alors peu à peu abandonnée et des artistes locaux, comme Claude Arnoux, dit Lullier (retable de la chapelle d’Andelot à l’église de Pesmes), et Denis le Rupt (chaire et tribune d’orgues de Notre Dame de Dole) adoptent le nouveau style. A l’poque classique, la statuaire religieuse tombe dans l’académisme ; seule le mobilier révèle encore l’originalité et la sûreté du goût des artistes locaux (boiseries de Fauconnet à Goux Les Usiers). Par la suite, quelques sculpteurs connurent une certaine notoriété, comme Clésinger, Luc Breton et surtout Perraud (1819-1876) dont l’inspiration romantique sut produire des œuvres empreintes de sensibilité et d’émotion (musée de Lons le Saunier). A la fin du siècle, Bartholdi immortalisa à Belfort la résistance de la ville en 1870, en sculptant à même le roc un lien monumental.

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