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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Energies nouvelles sacrifiées

Posté par francesca7 le 10 mai 2013

 sur l’autel de lobbies cyniques

(Éditorial du 11 décembre 2009 paru dans le N° 33 de
La France pittoresque - janvier/février/mars 2010)

Energies nouvelles sacrifiées dans HUMEUR DES ANCETRES energies

 « Gouverner, c’est prévoir », soutenait au XIXe siècle Emile de Girardin. Au lendemain de la première Guerre mondiale, l’écrivain et médecin Octave Béliard pose dans Lectures pour tous la question selon lui pressante de l’épuisement des réserves de charbon d’un monde énergivore : « toute notre industrie s’alimente sur des magasins très limités et dont le stock ne sera pas renouvelé. Nous vidons en ce moment les caves de la Terre (…). En moins de cent cinquante ans, nous avons déjà consumé la plus grande partie d’une provision de millions d’années ; on entrevoit la fin des houillères. Quant au pétrole, dont l’utilisation industrielle est bien plus récente, il n’y faut pas compter pour l’avenir : le Federal Oil Conservation Board estime que les puits américains seront vides dans six ans ! »

Au problème crucial de l’humanité se résumant déjà à « chercher d’autres sources d’énergie ou se résigner à mourir », il entr’aperçoit la solution providentielle et viable de production d’une énergie gratuite, renouvelable et propre. Suggérée par Jules Verne en 1869 dans son Vingt mille lieues sous les mers et modélisée par Jacques-Arsène d’Arsonval en 1881, elle venait d’être communiquée à l’Académie des sciences le 15 novembre 1927 après de fructueux essais, par Georges Claude, élève, ami de ce dernier et cofondateur d’Air Liquide, qui s’appuyait sur une simple application des principes de la thermodynamique : « extraire de l’énergie de la mer en quantité illimitée, en tirant parti des différences des températures entre l’eau superficielle et l’eau profonde » ; une technique qui acquiert ses lettres de noblesse avec la réalisation en 1930 d’un premier prototype de turbine, puis la création en France, au milieu du XXe siècle, de l’Energie des mers, société dévolue à son expansion.

En dépit, cependant, de probants résultats et de chocs pétroliers successifs augurant une ample crise énergétique, les choix politiques consistent, des décennies durant, à délaisser au profit de combustibles fossile et nucléaire inadaptés au développement durable, une ressource prometteuse et non polluante capable d’assouvir plusieurs fois la voracité de la planète : faut-il voir dans cette façon de gouverner le cynique dessein de préserver les intérêts financiers de certains pourvoyeurs d’énergie, doublé du pouvoir d’exiger des sacrifices économiques d’un peuple dont on échauffe opportunément la conscience écologique ?…

Valéry VIGAN
Directeur de la publication
La France pittoresque

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Le suffrage universel

Posté par francesca7 le 10 mai 2013

:
pernicieux leurre démocratique ?

(Éditorial du 12 mars 2010 paru dans le N° 34 de
La France pittoresque – avril/mai/juin 2010)

Le suffrage universel  dans HUMEUR DES ANCETRES suffrage

En 1871, cependant que les destinées de la France sont depuis près d’un quart de siècle confiées au suffrage universel, l’économiste Antonin Rondelet, parmi les premiers ayant analysé les rapports entre morale et économie politique, dénonce dans Les limites du suffrage universel le bien-fondé d’un système électif passant « dans le monde complaisant des naïfs, pour une institution éminemment démocratique, fonctionnant pour la liberté de tous et plus particulièrement dans l’intérêt des petits », mais qui à son sens, et comme l’affirmait déjà Rochefort, repose sur des professions de foi et des déclarations de principes « dans lesquelles on promet au peuple tout ce qu’il aime, à charge, une fois l’élection terminée, de lui donner tout ce qu’il n’aime pas ».

L’année suivante, dans L’esprit du suffrage universel, l’avocat Lapeyre ne cache pas son désarroi face à cette « utopie pernicieuse » présupposant la capacité et le devoir de l’électeur « de s’éclairer sur toutes les questions qui touchent aux grands intérêts de l’Etat (…). Pour voter en pleine connaissance de cause sur toutes les questions de constitution, de finances, d’équilibre européen, etc., il faudrait être un savant non pas dans une branche spéciale de la science, mais un savant universel, un homme d’Etat consommé. (…) Sans parler de la moralité, que l’on ne saurait négliger sans risquer de tout perdre, tout ce que l’on fera pour l’instruction des masses, n’aboutira jamais à les initier complètement à la délicatesse des affaires diplomatiques, à la complication des rouages administratifs, à la profondeur des principes constitutionnels, à la difficulté des questions financières ».

S’il lui semble chimérique d’attendre du seul mécanisme intrinsèque d’un suffrage universel déficient, qu’il accouche de dirigeants vertueux, il aspire en revanche à l’émergence de candidats à l’élection dignes et désintéressés, convaincu de la détestation viscérale du peuple pour des « hommes gonflés d’or, d’égoïsme et d’orgueil qui affectent à son égard l’insulte et le dédain ».

Mais est-il aujourd’hui raisonnable d’espérer d’appareils politiques s’accommodant d’institutions dont ils se repaissent périodiquement des bienfaits par le jeu des alternances, qu’ils soumettent enfin aux votes des électeurs des hommes et des femmes d’une moralité sans tache, ou longtemps encore leur seule réponse consistera-t-elle en la stigmatisation, lâche et confortable, de citoyens refusant pour certains simplement de cautionner un suffrage universel dévoyé ?

Valéry VIGAN
Directeur de la publication
La France pittoresque

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L’illusion d’une promesse

Posté par francesca7 le 10 mai 2013

Une centralisation étatique
préfigurant la banqueroute

(Éditorial du 14 juin 2010 paru dans le N° 35 de
La France pittoresque – juillet/août/septembre 2010)

L'illusion d'une promesse dans HUMEUR DES ANCETRES chats-rigolo

Vouant une inébranlable confiance dans l’exercice de la liberté, l’économiste et homme politique bayonnais Frédéric Bastiat, trop conservateur pour les républicains, trop républicain pour les conservateurs, dépeint vers 1850 au fil de pamphlets pédagogiques confinant parfois à l’ingénieuse fable satirique, les sophismes contemporains et vices à venir d’un État-Providence dont il déplore l’interventionnisme s’accentuant, et qu’il regarde comme la « grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ».

Réformateur résolu, farouche partisan de l’assurance sociale, il annonce dans ses Harmonies économiques les effets pervers d’une centralisation étatique d’associations ouvrières pour l’heure libres et dont les membres exercent, avec succès, une surveillance vigilante mutuelle : « Supposez que le gouvernement intervienne. (…) Il nommera des vérificateurs, des contrôleurs, des inspecteurs. On verra des formalités sans nombre s’interposer entre le besoin et le secours. (…) Les ouvriers ne verront plus dans la caisse commune une propriété qu’ils administrent, qu’ils alimentent, et dont les limites bornent leurs droits. Peu à peu, ils s’accoutumeront à regarder le secours en cas de maladie ou de chômage, non comme provenant d’un fonds limité préparé par leur propre prévoyance, mais comme une dette de la Société.

« Ils n’admettront par pour elle l’impossibilité de payer, et ne seront jamais contents des répartitions. L’État se verra contraint de demander sans cesse des subventions au budget ». Conséquence inéluctable, « les abus iront toujours croissant, et on en reculera le redressement chaque année, comme c’est l’usage, jusqu’à ce que vienne le jour de l’explosion. Mais alors on s’apercevra qu’on est réduit à compter avec une population qui ne sait plus agir par elle-même, qui attend tout d’un ministre ou d’un préfet, même la subsistance ».

Condamné à prodiguer d’illusoires promesses, car d’une part accusé d’impuissance s’il refuse d’assouvir les exigences des citoyens, d’autre part fustigé lorsque pour s’aviser d’y répondre il frappe la population de taxes redoublées, l’État démocratique se trouve réduit à « user du crédit, c’est-à-dire dévorer l’avenir » – pis-aller éphémère évoquant selon Bastiat « le spectre de la banqueroute » – avant de lancer une ultime offensive pour se maintenir et prévenir une révolte qu’il sent sourdre : « il étouffe l’opinion, il a recours à l’arbitraire, (…) il déclare qu’on ne peut administrer qu’à la condition d’être impopulaire ». Un discours prémonitoire ?…

Valéry VIGAN
Directeur de la publication
La France pittoresque

Publié dans HUMEUR DES ANCETRES | Pas de Commentaire »

 

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