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    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Lundi 6 mai 2013

Musée de Brou en Bourgogne

Posté par francesca7 le 6 mai 2013

Musée de Brou EN Bourgogne

Adresse : 63 bd de Brou 01000 Bourg-en-Bresse

Horaires d’ouverture au public : Du 1/10 au 31/03 : 9 h à 12 h et 14 h à 17 h – du 1/04 au 30/06 : 9 h à 12 h 30 et 14 h à 18 h – du 1/07 au 30/09 : 9 h à 18 h

Téléphone : 04 74 22 83 83

Courriel : musee.de.brou@bourgenbresse.fr

Site web : Page Facebook du Monastère Royal de Brou

Situation sur plan : Localiser le musée de Brou

 

 

Musée de Brou en Bourgogne dans Bourgogne brou-300x225

Brou, autrefois petite agglomération née autour du prieuré bénédictin établi au voisinage de Bourg, c’est maintenant un quartier englobé par l’extension urbaine.

 Il est possible de visiter l’église en même temps de la Musée à Brou. Ce monument où le gothique flamboyant est pénétré par l’art de la Renaissance, est contemporain du château de Chenonceau. En avant de la façade, on verra à plat sur le sol un cadran solaire géant, recalculé en 1757 par l’astronome Lalande, enfant de Bourg.

 La façade principale, au pignon trilobé, est très richement sculptée dans sa partie centrale. Le tympan du beau portail Renaissance représente, aux pieds du Christ aux liens, Philibert le Beau, Marguerite d’Autriche et leurs saints patrons. Au trumeau, saint Nicolas de Tolentin, à qui l’église est dédiée (la fête de ce saint tombait le jour de la mort de Philibert) ; dans les ébrasements, saint Pierre et saint Paul. Surmontant l’accolade du portail, saint André. Toute une flore sculptée, gothique flamboyant (feuilles et fruits) ou d’inspiration Renaissance (laurier, vigne acanthe), se mêle à une décoration symbolique où les palmes sont entrelacées de marguerites.

 Les façades du transept, plus simples, offrent un pignon triangulaire à pinacles. La tour, carrée, élève ses cinq étages sur le flanc droit de l’abside. La nef, en entrant dans l’église… on apprécie la clarté blonde qui baigne la nef et ses doubles bas-côtés. La lumière des fenêtres hautes illumine l’enduit des murs sur lequel a été dessiné un faux appareillage. Les piliers composés d’un faisceau serré de colonnettes montent d’un seul jet à la voûte où ils s’épanouissent en nervures multiples aux clefs ouvragées. La balustrade qui court au-dessous des fenêtres de la nef est finement sculptée. L’ensemble architectural a beaucoup de noblesse. Dans la 2ème travée de la nef, à droite, une cuve baptismale en marbre noir du 16ème siècle porte la devise de Marguerite. Le bras droit du transept a un remarquable vitrail du 16ème siècle représentant Suzanne accusée par les vieillards (en haut) et disculpée par Daniel (en bas).

 La nef et le transept accessibles aux fidèles, étaient séparés du chœur, domaine propre des religieux et sanctuaire des tombeaux, par le jubé. A sa droite s’ouvre la chapelle de Montécuto qui représente des maquettes expliquant les procédés de constructions employés à Brou.

 Étonnante richesse décorative d’arc en anse de panier, surmontées de sept statues religieuses. Le chœur est la partie capitale de l’église. Marguerite a tout mis en œuvre pour obtenir la perfection dans la magnificence. Prise d’ensemble, l’ornementation sculptée de Brou frise l’excès…

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Musée Pompon à Saulieu

Posté par francesca7 le 6 mai 2013

Musée François Pompon de Saulieu (21)

 

 Musée Pompon à Saulieu dans Bourgogne musee-pompon-300x180

 

Le musée municipal François Pompon est hébergé dans un élégant hôtel particulier XVIIème siècle jouxtant la basilique Saint Andoche en plein coeur de la ville de Saulieu

On y découvre en premier lieu des collections ayant trait à l’art lapidaire (stèles funéraires gallo-romaines, bornes indicatrices, statues, art sacré…), puis une salle de gastronomie pour l’art culinaire et d’autres objets et documents médiévaux… 

Enfin accédant au premier étage, on entre dans le domaine de François Pompon… Cet artiste-sculpteur, formé par Rodin dont il devient le chef d’atelier, va rapidement se désintéresser du portrait dans lequel il excellait pour se consacrer à la représentation des animaux, familiers, sauvages, exotiques… 

Il travaille aussi sur la représentation du mouvement : retrouver dans la sculpture le sens du mouvement, synonyme de vie… 

Son travail très riche et fourni s’épure au fur et à mesure pour ne garder que l’essentiel… A tel point qu’on a parfois parlé en évoquant les oeuvres de François Pompon d’esthétique japonisante !

Qui ne connaît « l’Ours », le fameux ours polaire exposé au Musée d’Orsay à Paris , la panthère à l’allure féline, le taureau emblème de Saulieu…

saulieu-300x159 dans Côte d'Or

Au coeur de la Bourgogne,Porte d’entrée du Morvan,Saulieu est depuis toujours une ville étape sur la route Paris-Lyon… A l’époque gallo-romaine, on en trouve trace sous le nom de Sidolucum. 

Mais si elle a su « accrocher » le voyageur de passage, c’est par la qualité de sa gastronomie et son patrimoine.

Madame de Sévigné
 en 1677, fera grand éloge de l’étape qu’elle a fait à Saulieu… Rabelais en son temps avait également apprécier la richesse de la gastronomie avant que Napoléon, Sacha Guitry, Mitterrand ou Giscard d’Estaing… ne suivent l’exemple ! 

La bonne chère est histoire de traditions : en Bourgogne, il est réputé bien manger, qui plus est élever l’une des races de boeuf, le Charolais, dont la viande est des plus goûteuses est un atout de choix… et avoir de grandes tables, la Côte d’Or…, permet de se faire une réputation certaine et méritée… 

Saulieu c’est également la ville de François Pompom, sculpteur, élève de Rodin à qui un musée est dédié, et aussi la Basilique Saint Andoche, superbe édifice roman du XIIème siècle, remarquable pour ses chapiteaux… 

Et enfin Saulieu est la ville des Sapins de Noël, il en part plus d’un million par an dans le monde entier… 

Renseignements : 03 80 64 19 51 

 

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Musée du Costume

Posté par francesca7 le 6 mai 2013

Musée du Costume à Avallon (89)

6, rue Belgrand
Avallon 89200
tel: 03 86 34 19 95   fax: 03 86 31 63 67

Musée du Costume dans MUSEES de FRANCE musee-avallon-300x215

Visites guidées du 15 avril au 1er novembre tous les jours de 10 h 30 à 12 h 30et de 13 h 30 à 17 h 30 Entrée adulte 4 € – Groupes de plus de 10 personnes et enfant jusqu’à 18 ans 2,50 €

Au cœur d’un hôtel particulier des 17ème et 18ème siècles sont exposés des costumes, tous issus de fonds privés, changeant annuellement. Des robes de mariées, aussi belles que variées, sont à voir dans la chapelle.

Ce musée invite chaque année ses visiteurs à un voyage dans le temps moins lointain mais plein de charme, à travers une présentation, à chaque fois renouvelée, de costumes et d’accessoires de mode anciens, déployés dans le cadre d’un ancien hôtel particulier des XVIIème et XVIIIème siècles ayant appartenu à la famille de Condé

 

THEME :

Masculin Féminin tel sera le thème de cette année 2008. Le musée retrace en 12 salles l’histoire du costume d’homme pendant 300 ans et son influence sur le costume féminin.

A découvrir, l’habit de cour à la française au 18esiècle – l’habit brodé sous l’Empire et la Restauration – l’habit moderne à la fin du 18e siècle avec notamment les Incroyables – le triomphe de l’habit noir aux 19e et 20e siècles, les dessous de ces messieurs, l’unisexe pour les moins de 5 ans et les premiers costumes pour les plus grands – les costumes de sport – les accessoires du costume masculin et l’influence du masculin sur le féminin.

Lorsque le visiteur pousse la porte du discret musée du costume, dans la petite rue Belgrand, à Avallon, il pénètre un autre monde. Celui d’Agnès et de Sylvie Carton, propriétaires des lieux. Une vraie encyclopédie de la mode à elles deux. Cette année, les deux s’urs ont décidé de consacrer l’espace de leur belle demeure à l’histoire de la gravure de mode.

Si le thème ne touche sans doute pas tous les publics, il ravira les amateurs éclairés et les simples curieux. Car l’exposition fourmille d’une infinité de détails, d’informations et de documents.

Ces gravures ont guidé les élégantes pendant des siècles

Dans chaque salle, les mannequins sont vêtus de façon similaire aux gravures exposées. De manière souvent tellement identique que c’en est troublant.

« On disposait d’un stock important de gravures anciennes, raconte Agnès Carton. Elles nous servaient habituellement de guide pour vêtir et coiffer nos mannequins. Cette fois-ci, on a eu envie de les sortir de l’ombre et de montrer à quel point ces gravures servaient également de guide pour les élégantes, autant au XVIII e siècle que jusque dans les années 60 ».

L’exposition est agencée de façon linéaire (« le plus simple pour nous comme pour les visiteurs », explique Agnès) : la première salle dévoile des tenues portées sous l’Empire, la dernière est consacrée aux années 60, avec de vrais trésors signés Balenciaga, Dior ou Courrèges.

« Le XVIII e siècle correspond au tout début de la gravure. Avant, c’était par le biais de poupées que circulait la mode ! », révèle Sylvie Carton. Publiée dans des revues de nouvelles et de propos mondains, la gravure était en quelque sorte l’équivalent des séries photo dans les magazines féminins d’aujourd’hui. « Ça faisait rêver les provinciales de contempler les dernières tendances parisiennes », sourit Agnès Carton. Peintes à la main, ces gravures n’avaient au départ qu’un tirage modeste. Mais face à la forte demande, l’offre s’agrandit. « Il y a eu la grande idée de présenter le modèle de dos et de face, pour donner plus de détails techniques », souligne Agnès Carton. Leurs mannequins, dans chaque salle, reproduisent parfaitement les poses, l’allure et les coiffures des modèles.

Évolution de la société

Les gravures proviennent des journaux les plus célèbres des différentes époques : Le journal des Demoiselles, le Petit Écho de la Mode, ou, plus tard,Vogue et Marie-Claire. L’observateur peut constater ainsi leurs changements : d’abord peintes à la main, puis photographiées ou réalisées par des artistes célèbres, mises en scènes ou épurées, elles racontent l’évolution de la société à travers la façon de se vêtir. Certaines font même référence à l’actualité, en mettant par exemple en scène des militaires de la Première Guerre mondiale.

En ressortant du musée, le visiteur a l’impression étrange d’avoir traversé les siècles, des crinolines aux robes des années folles, pour revenir un peu abruptement à l’époque du jean et des baskets.

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PratiqueLe musée du costume au 6, rue Belgrand, à Avallon. Ouvert tous les jours, de 10 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30. Les visites sont guidées. Réservation obligatoire pour les groupes, au 03.86.34.19.95. Tarifs : 5 €, réduit 3 €.

 

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